Le cours du gaz européen recule fortement ce mercredi, touchant son plus bas niveau depuis plus de deux mois. Cette baisse s’explique par la réduction des inquiétudes concernant les réserves européennes et les avancées dans les négociations pour résoudre le conflit ukrainien.
Après avoir atteint des sommets début février, les prix chutent depuis l’appel entre Donald Trump et Vladimir Poutine qui a lancé les discussions sur une possible résolution du conflit. À 16H10, le TTF néerlandais affiche une baisse de 3,37% à 42,80 euros le mégawattheure, après avoir touché 42,20 euros, un niveau inédit depuis mi-décembre.
Giovanni Staunovo d’UBS souligne que « l’espoir d’un cessez-le-feu en Ukraine et la perspective d’une reprise partielle des exportations russes » ainsi que « des températures plus douces » expliquent cette tendance.
Les entreprises allemandes du secteur énergétique militent actuellement pour réduire l’objectif de stockage de gaz pour l’hiver prochain de 90% à 80% afin d’apaiser les tensions sur le marché.
Du côté du pétrole, les incertitudes persistent avec un Brent à 72,98 dollars (-0,05%) et un WTI à 69,01 dollars (+0,12%). Les analystes anticipent un possible report du plan d’augmentation de l’offre de l’OPEP+ prévu à partir d’avril, face aux inquiétudes concernant la demande mondiale.
Article rédigé par Guillaume Sagliet
Growth Marketing Manager pour Collectif Énergie, je suis devenu expert pour retrouver les pages perdues dans l’Internet et leur redonner vie grâce à mes connaissances approfondies dans Lost et The Walking Dead. Avec moi, tous les contenus affrontent Google sans crainte.
Le cours du gaz européen recule fortement ce mercredi, touchant son plus bas niveau depuis plus de deux mois. Cette baisse s’explique par la réduction des inquiétudes concernant les réserves européennes et les avancées dans les négociations pour résoudre le conflit ukrainien.
Après avoir atteint des sommets début février, les prix chutent depuis l’appel entre Donald Trump et Vladimir Poutine qui a lancé les discussions sur une possible résolution du conflit. À 16H10, le TTF néerlandais affiche une baisse de 3,37% à 42,80 euros le mégawattheure, après avoir touché 42,20 euros, un niveau inédit depuis mi-décembre.
Giovanni Staunovo d’UBS souligne que « l’espoir d’un cessez-le-feu en Ukraine et la perspective d’une reprise partielle des exportations russes » ainsi que « des températures plus douces » expliquent cette tendance.
Les entreprises allemandes du secteur énergétique militent actuellement pour réduire l’objectif de stockage de gaz pour l’hiver prochain de 90% à 80% afin d’apaiser les tensions sur le marché.
Du côté du pétrole, les incertitudes persistent avec un Brent à 72,98 dollars (-0,05%) et un WTI à 69,01 dollars (+0,12%). Les analystes anticipent un possible report du plan d’augmentation de l’offre de l’OPEP+ prévu à partir d’avril, face aux inquiétudes concernant la demande mondiale.
Article rédigé par Guillaume Sagliet
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