Mercredi 12 février, RTE a révélé son plan de développement du réseau électrique français à haute tension avec un investissement de 100 milliards d’euros d’ici 2040. L’objectif ? « Accompagner la décarbonation de l’économie et préparer le pays aux défis climatiques de demain. »

Renforcer le réseau actuel

Pour sortir des énergies fossiles, Xavier Piechaczyk, président du directoire de RTE compte « s’appuyer sur les atouts actuels du réseau français capable d’accueillir la production issue des centrales française et de résister aux tempêtes ». Pour renforcer le réseau, RTE suivra le Schéma Directeur de Développement du Réseau (SDDR), dont le calendrier s’étale jusqu’en 2040 et implique « la réindustrialisation du pays comme une priorité pour le réseau national ».

Un réseau plus grand et plus fort

23500 km de lignes, 85000 pylônes, sans oublier l’adaptation du réseau aux fortes chaleurs et aux futures crues centennales.

Ce réseau intégrera les futurs réacteurs nucléaires EPR, absorbera la production des futurs parcs éoliens en mer, fera transiter la production d’Ouest en Est dans l’hexagone, jusqu’au reste de l’Europe.

100 milliards, un plan ambitieux ?

« Les montants d’investissement sont à la fois importants et compétitifs au niveau européen », indique Xavier Piechaczyk. En effet, plus de 250 milliards d’ici 2037 pour l’Allemagne et 150 milliards d’ici 2035 en Grande-Bretagne, le budget français ainsi mis en perspective, paraît moins impressionnant.

Il s’agit tout de même du troisième grand plan d’électrification après celui d’après-guerre et le plan Messmer pour le nucléaire durant les années 70.

Source : Figaro

Article rédigé par Josselin Rabiller

Rédacteur web pour Collectif Énergie, je sais chiner des pièces uniques pour habiller les sujets énergétiques et les rendre plus écoresponsables, plus durables… et certainement plus chics aussi. C’est important de garder le style en toute occasion.

Mercredi 12 février, RTE a révélé son plan de développement du réseau électrique français à haute tension avec un investissement de 100 milliards d’euros d’ici 2040. L’objectif ? « Accompagner la décarbonation de l’économie et préparer le pays aux défis climatiques de demain. »

Renforcer le réseau actuel

Pour sortir des énergies fossiles, Xavier Piechaczyk, président du directoire de RTE compte « s’appuyer sur les atouts actuels du réseau français capable d’accueillir la production issue des centrales française et de résister aux tempêtes ». Pour renforcer le réseau, RTE suivra le Schéma Directeur de Développement du Réseau (SDDR), dont le calendrier s’étale jusqu’en 2040 et implique « la réindustrialisation du pays comme une priorité pour le réseau national ».

Un réseau plus grand et plus fort

23500 km de lignes, 85000 pylônes, sans oublier l’adaptation du réseau aux fortes chaleurs et aux futures crues centennales.

Ce réseau intégrera les futurs réacteurs nucléaires EPR, absorbera la production des futurs parcs éoliens en mer, fera transiter la production d’Ouest en Est dans l’hexagone, jusqu’au reste de l’Europe.

100 milliards, un plan ambitieux ?

« Les montants d’investissement sont à la fois importants et compétitifs au niveau européen », indique Xavier Piechaczyk. En effet, plus de 250 milliards d’ici 2037 pour l’Allemagne et 150 milliards d’ici 2035 en Grande-Bretagne, le budget français ainsi mis en perspective, paraît moins impressionnant.

Il s’agit tout de même du troisième grand plan d’électrification après celui d’après-guerre et le plan Messmer pour le nucléaire durant les années 70.

Source : Figaro

Article rédigé par Josselin Rabiller

Rédacteur web pour Collectif Énergie, je sais chiner des pièces uniques pour habiller les sujets énergétiques et les rendre plus écoresponsables, plus durables… et certainement plus chics aussi. C’est important de garder le style en toute occasion.

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