La France a atteint un taux de 95 % d’électricité bas carbone sur une année : un record !
C’est une première dans l’histoire de la production électrique française. En 2023, l’électricité française était à 92 % d’origine peu carbonée. En 2024, c’est encore un petit mieux : 95 % !
Les chiffres de la production électrique de 2024 se consolident petit à petit et apportent leur lot de bonnes nouvelles. Parmi celles-ci, avant le dévoilement complet par RTE de son bilan électrique annuel, la part de la production bas carbone a déjà été soulignée et saluée dans un rapport provisoire.
Selon le gestionnaire du réseau, ce taux exceptionnel de 95 % tient à trois facteurs clés :
- une production nucléaire retrouvée, à son niveau de 2021 ;
- une hydroélectricité fortement disponible compte tenu de la météo ;
- le déploiement effectif et combiné de l’éolien et du solaire qui atteignent des records de production.
De fait, les panneaux photovoltaïques à eux seuls ont injecté dans le réseau plus d’électricité (23,3 TWh) que le gaz, le charbon et le fioul ensemble (19,9 TWh, dont 17,4 TWh pour le gaz) au cours de l’année 2024.
Au final, l’intensité carbone de l’électricité française a été de 21,3 gCO2eq/kWh. C’est au moins dix fois moins que l’électricité produite en Allemagne, dont environ 59 % était d’origine renouvelable en 2024.
Source : France Info
Article rédigé par Côme Tessier
Rédacteur web pour Collectif Énergie, je m’évertue à glisser des touches sportives ou des notes sucrées pour rendre plus accessibles les sujets liés à l’énergie. Sans jamais oublier de traquer les doubles espaces qui perturbent la lecture.
La France a atteint un taux de 95 % d’électricité bas carbone sur une année : un record !
C’est une première dans l’histoire de la production électrique française. En 2023, l’électricité française était à 92 % d’origine peu carbonée. En 2024, c’est encore un petit mieux : 95 % !
Les chiffres de la production électrique de 2024 se consolident petit à petit et apportent leur lot de bonnes nouvelles. Parmi celles-ci, avant le dévoilement complet par RTE de son bilan électrique annuel, la part de la production bas carbone a déjà été soulignée et saluée dans un rapport provisoire.
Selon le gestionnaire du réseau, ce taux exceptionnel de 95 % tient à trois facteurs clés :
- une production nucléaire retrouvée, à son niveau de 2021 ;
- une hydroélectricité fortement disponible compte tenu de la météo ;
- le déploiement effectif et combiné de l’éolien et du solaire qui atteignent des records de production.
De fait, les panneaux photovoltaïques à eux seuls ont injecté dans le réseau plus d’électricité (23,3 TWh) que le gaz, le charbon et le fioul ensemble (19,9 TWh, dont 17,4 TWh pour le gaz) au cours de l’année 2024.
Au final, l’intensité carbone de l’électricité française a été de 21,3 gCO2eq/kWh. C’est au moins dix fois moins que l’électricité produite en Allemagne, dont environ 59 % était d’origine renouvelable en 2024.
Source : France Info
Article rédigé par Côme Tessier
Rédacteur web pour Collectif Énergie, je m’évertue à glisser des touches sportives ou des notes sucrées pour rendre plus accessibles les sujets liés à l’énergie. Sans jamais oublier de traquer les doubles espaces qui perturbent la lecture.